Saint lunaire, dimanche matin

Etienne Daho

Composición de: Arnold Turboust/Etienne Daho
La fête s'achève et les derniers se pressent 
C'est comme dans un rêve et y'a plus rien à boire, bonsoir 
Dans le vestibule où nos regards se croisent 
Vais-je enfin oser l'amener sur la plage, bonjour 
C'est l'heure des folies permises, enfin 
L'heure où je ne comprends plus rien 
La fête s'achève, plus une cigarette 
Mais toi, tu as compris, tu me suis sans rien dire, bonjour 
C'est l'heure des délires permis, enfin 
L'heure où je ne comprends plus rien 
Tant d'alcool, ma tête est lourde 

Un peu d'air frais me ferait du bien 
La fête s'achève et les derniers se pressent 
Y'a plus rien à boire, mais tes lèvres suffisent, bonjour !
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